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Messages - salskav

#1
Non, je ne pense pas avoir trop de soucis à me faire, mais on ne sait jamais...
Le décalage audiovisuel/spectacle vivant est réel... mais pas pour tout le monde (seulement pour ceux - dans l'AV - qui se font remarquer - en bien évidemment) !
Qu'est-ce que j'y peux ?  :)
#2
Citation de: Chuppa Kéké le 31 Octobre, 2006, 17:16:47 PM
Mets en avant le fait que tu démissionne pour une situation plus avantageuse et pour une évolution et un épanouissement professionnel, ça peut peutetre marcher pour ouvrir des droits plus tot.
Je l'ai bien clairement précisé aux ASSEDIC et à l'ANPE, mais ça n'a pas eu l'air de pouvoir changer quoi que ce soit.
Mais merci pour la précision sur la spécificité des heures déclarées dans le spectacle. Toutefois, j'ai un collègue qui est parti dans les mêmes conditions il y a deux ans, et il m'avait bien dit un truc comme je vous ai décrit (le coup des heures perdues pour ouvrir le régime général...)
Alors, si d'autres peuvent me confirmer les dires de Chuppa Kéké, ça me rassurerait ;-)
#3
Bonjour à tous,
Voici 2 mois, je quittais mon emploi dans une société de post prod vidéo, sur démission, dans le but d'accéder à une fonction indisponible en évolution interne (et globalement rare en CDI !!!) : Monteur truquiste.
Me lançant ainsi dans la "jungle" des intermittents, j'ai bien pris soin de couvrir mes arrières à force de renseignements auprès des ASSEDIC, ANPE, Internet, etc...
Cependant, les informations obtenues sont parfois contradictoires, et comme en plus, le statut est en perpétuelle révision...
On m'a donc annoncé (source ASSEDIC) que, en tant que démissionnaire, je ne pouvais toucher quelque indemnité que ce soit, tant que je n'aurai pas effectué 455 heures de travail ou demandé une révision de ma demande d'allocations au terme de 4 mois. Dans ces deux cas, je pourrais me voir ouvrir des droits au régime général du chômage. Jusque là, tout est clair. Là où ça se complique, c'est quand on m'explique que :
- si mes droits au régime général sont ouverts par l'obtention de 455H, alors, mon compteur repart à zéro, et je dois ensuite cumuler 507 nouvelles heures pour obtenir le statut d'intermittent ;
- si mes droits sont ouverts par la révision de mon dossier, ce ne sont plus les heures travaillées depuis ma démission, mais l'emploi que j'ai volontairement quitté qui m'ouvre ces droits, donc je ne perds rien des heures travaillées dans les 4 mois, et elles restent utilisables pour obtenir le statut.
J'en conclue que, si je ne veux pas attendre trop longtemps pour obtenir le statut d'intermittent, j'ai intérêt à travailler moins de 455 heures au cours des 4 mois suivant ma démission... et donc à modérer mon activité !!!
Or, je n'ai pas quitté mon emploi pour faire la fainiasse, mais bien pour avoir une activité en phase avec mes ambitions, et de préférence une activité importante !
Vous me direz peut-être que si j'arrive à bosser 100 ou 150 heures par mois, je n'ai pas besoin du statut, et je vous répondrais : sûrement. Mais quand on bosse à la pige, on ne sait jamais de quoi l'avenir sera fait, alors...
Bon, venons en à ma question :
Est-ce que j'ai bien compris la situation ? Et quelle est pour moi la meilleure voie à suivre pour ne pas "travailler dans le vide" pendant 4 mois ?
J'ai cru comprendre qu'une personne bien renseignée des ASSEDIC traînait sur ce forum, donc j'ai bon espoir d'une réponse claire  ;)
Merci d'avance,
Salskav