A ce jour toujours aucune nouvelle officielle pour le numéro d'objet mais des infos contradictoires circulent sur des listes de diffusion comme ne témoignent les messages suivants:
et voilà un message émanant d'un représentant du synavi
Citationoui j'ai essayé aussi tout de suite. Ne trouvant rien sur le site,
j'ai appelé ce matin au 01 53 17 20 00 (le numéro indiqué en bas de la
circulaire).
L'homme qui répond est très calme et courtois.
A propos de cette circulaire: " l'unedic ne comprend pas comment cette
circulaire circule " !! et "elle n'est pas encore signée."
J'ai demandé si elle allait donc être redatée et si le 1er avril sera
changé. réponse non. !
"ce sont les assedic qui doivent faire l'information, il faudra
demander à votre assedic."
"oui, je reçois pas mal d'appel à ce sujet"
CitationJe confirme en tant qu'employeur : rien sur le site, aucun courrier. De
plus, j'ai saisi l'occasion des validations d'AEMV4 pour demander
officieusement à mon interlocuteur à Annecy ce qu'il en était, et il m'a
répondu que l'application serait probablement repoussée aux calendes
latines, sinon grecques.
et voilà un message émanant d'un représentant du synavi
CitationSalut,
Certaines compagnies ont reçu un document de 16 pages qui explique comment obtenir ce n° d'objet. Le site des assédic n'est pas prêt car il doit y avoir un problème informatique à régler. Le conseil à donner est de noter toutes les tentatives de connexion pour que les employeurs se couvrent au cas où l'obtention des n° d'objet se ferait après le 1° avril (les AEM doivent être compatibles avec le n°).
Ce qui est sûr c'est que les sanctions s'appliqueront dès le 1° avril. Elles concernent les employeurs et pas les salariés.
Le n° est attribué à un spectacle (ce qui pose problème pour les interventions artistiques sans spectacle).
Nous réfléchissons au mode d'action à mener contre ce nouvel instrument de traçabilité des intermittents.
Ce n° est indépendant d' un soi disant nombre minimum de représentations comme le bruit en a couru.
Son danger est plus grand car il va permettre de mesurer des éléments comme les représentations et les répétitions. Il est présenté comme un instrument d'analyse du fonctionnement des relations entre les employeurs et les salariés intermittents (il a été demandé par la FESAC qui souhaitait avoir des infos dans le domaine audiovisuel).
Et surtout quelle utilisation en sera faite par tous ceux qui contrôlent nos activités (commission des licences, organismes sociaux, fisc...)
Jean-Claude Parent
Vice président du Synavi