En l'état, j'ai l'impression qu'il faut faire gaffe à un truc :
Depuis le site de Pôle Emploi :
"QUELS SONT LES IMPACTS DE L’ACTIVITÉ PARTIELLE SUR MON CONTRAT DE TRAVAIL ?
Le salarié placé en activité partielle, voit son nombre d’heures de travail réduit partiellement ou en totalité pour une période déterminée. La période indemnisée au titre de l’activité partielle par l’employeur est considérée comme chômée, cela signifie que le contrat de travail est suspendu, mais n’est pas rompu.
Cet évènement ne permet donc pas d’ouvrir un droit à l’allocation chômage, puisque le contrat n’est pas terminé."
Je comprends ça comme ça :
- on imagine des répétitions finales et/ou représentations qui étaient prévues en avril 2020.
- on imagine la procédure de chômage partielle mise en place
- on imagine qu'un des intermittents concernés avait sa date d'anniv' en septembre et qu'à cette date
on n'est plus dans les trucs de confinement disons depuis le 31 août pour simplifier.
- la date d'anniv' de l'intermittent est donc décalée de six mois (période blanche de mars à août) et devient donc mars
- on imagine bien comme la saison 2020/2021 est explosée, certains spectacles initialement entre mars et septembre
ne peuvent être reportés etc, donc l'intermittent a certainement moins de taf' quand "tout reprend"
- mais il se trouve que ces répétitions/représentations d'avril 2020 ont pu être reportées à mai 2021
- si je comprends bien la précision finale de la synthèse Pôle emploi on se retrouve dans un cas de figure où un contrat
est en cours (celui du chômage partiel d'avril 2020 qui ne se termine dans la définition actuelle que lorsque ce qui a été
suspendu par le chômage partiel finit de se réaliser)
- autrement dit : en mars 2021, à sa date anniversaire, l'intermittent perd non seulement les heures d'avril 2020 mais
comme il a un contrat "en cours", tel que Pôle Emploi fonctionne depuis quelques temps... ça peut être encore plus rock n'roll
